La Chine c’est fini pour cette fois. Au revoir M. Cheval, M. Petit-Cochon et M. Demi-Merci et tous les autres. Quel pays mystérieux et quel potentiel d’affaires. Saurons-nous, saurai-je m’en débrouiller ? On a une belle usine là-bas qui ne demande qu’à grandir et à avoir des sœurs. A suivre donc. Mes remerciements à mon accompagnatrice qui en plus de traduire m’a éclairé plus d’une fois sur la psychologie chinoise et m’a entre-autres évité l’écueil d’être trop direct comme je sais l’être quelques fois (ceux qui me connaissent se demandent surement pourquoi je précise « quelques fois »). Je reviens avec l’envie d’apprendre la langue.
Ci-dessous quelques images pêle-mêle. Mais avant quelques mots sur les photos que je n’ai pas prises :
- A Shanghai il y a des gens qui promènent leur chien chaussé de 4 bottes en caoutchouc. J’imagine que c’est pour ne pas avoir à essuyer les pattes du toutou en rentrant à la maison. Le bénéfice m’échappe quand même puisqu’il faut essuyer les bottes !
J’en ai vu 2 mais sans avoir le temps ou le réflexe de dégainer mon appareil. - Il y quand même beaucoup de gens, souvent âgés, qui semblent un peu laissés sur le côté par le système. Ils sont généralement en veste d’ouvrier bleue (type veste Mao) et collectent des cartons sur des bicyclettes à 3 roues ou des tâches du même genre. Par décence je n’ai pas déclenché.
Ils sont quand même infiniment moins nombreux qu’en inde.
Enfin la bande originale du voyage comme souvent (voire toujours) était assurée plus que d’habitude par Léonard Cohen qui nous a quitté récemment et que je n’ai malheureusement jamais vu en live bien qu’il m’accompagne depuis très longtemps.